Loin des immeubles aux milliers de portes,
Mes pieds se vautrent dans l'ondulation apaisante,
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Mes yeux se font bercer par le miroitement limpide
de l'eau, sa houle vive et surprenante.
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Ma vie défile dans les cimes de mélèzes,
Mon esprit se baignent dans le vide
Et mon ouïe se pâme dans la braise.
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